Transmission du syndrome des ovaires polykystiques de mère en fille : l’épigénétique en cause ?
Parmi les troubles de la fertilité, le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est le plus fréquent. Une nouvelle étude met en lumière le rôle prépondérant de l’épigénétique pour expliquer son caractère héréditaire, et ouvre la voie à de nouvelles perspectives diagnostiques et thérapeutiques.
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