Anorexie mentale : le « dépenser plus » encore plus important que le « manger moins » pour expliquer la maladie
Une étude française sur l’anorexie mentale affirme que l’effort physique génère des émotions positives chez les femmes qui en souffrent mais aussi chez leurs proches non malades. L’activité physique serait donc associée à un effet récompense qui serait lui-même impliqué dans l’héritabilité de la maladie. Cette découverte explique le cercle vicieux de la maladie et fait avancer la prise en charge des patientes.
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